
Qu’est-ce que l’étiopathie ?
Etymologiquement, étiopathie signifie « origine de la douleur ».
Quelle est l’origine de notre douleur, de notre maladie, de notre mal-être ?
Que s’est-il passé dans notre vie pour que nous ayons eu besoin de créer cette douleur ?
Quel message notre corps essaie-t-il de nous transmettre ?
Il m’a fallu vingt ans pour comprendre comment fonctionnait l’âme humaine et son corps.
J’ai toujours eu le sentiment que nous étions des consciences venues d’un Ailleurs, une seule et unique Source Divine, chacun l’appelant comme il le veut ou comme il le peut.
Cette particule venue de cette Source Divine s’appelle « l’Âme » et nous en avons tous une.
J’ai eu aussi la chance d’exercer auprès de personnes différentes de par leur culture, leur origine, leur statut social, leur religion… Je suis sûre d’une chose, les douleurs sont les mêmes pour chacun d’entre nous, car elles sont liées à notre vécu, notre histoire propre.
L’être humain est un être complet, à l’heure où la médecine l’instrumentalise et le tronçonne. Il n’y a alors plus du tout d’unité, et nous souffrons tous de cette absence de globalité, de cohérence, qui dissocie douleur morale et douleur physique.
Ma raison d’être, à travers l’étiopathie, est de permettre à chacun de cheminer, à son rythme, vers la réconciliation de l’Âme et du Corps.
Nos vies, nos croyances, nos valeurs, notre éducation et la société nous ont éloignés de notre nature profonde ; la liberté d’être celui ou celle que nous sommes vraiment.
Car notre Essence tend vers cette quête, et c’est cela la vraie dimension du Bonheur.
Nous ressentons de plus en plus le fait qu’une partie de la société persiste à lutter alors qu’une autre s’élève et tend vers l’énergie la plus haute qui soit : l’Amour Inconditionnel.
Aimer sans condition. Il s’agit alors d’être habité d’un amour vrai et juste, pour les autres, à commencer par soi-même.
Car là est la clé du Bonheur, en toute simplicité.
Savoir s’aimer pleinement permet de faire ses choix en pleine conscience, en pleine confiance, et en toute liberté.
Ma propre pratique de l’étiopathie est intimement liée à mon parcours professionnel et personnel.
Chaque soin est unique, et requière l’utilisation de savoir-faire particuliers et choisis, suivant mon ressenti, dans le but de soulager, de libérer et de donner un sens à la douleur. La souffrance est une information importante, mon travail est de la décoder pour vous l’expliquer.
Curieuse depuis l’enfance, « pourquoi ? » est mon chemin de vie.
J’ai toujours été passionnée par les relations humaines, la compréhension des interactions entre deux individus, au sein de la famille, de la communauté et de la société. J’ai beaucoup appris en observant et en écoutant les autres.
Comme tout le monde, j’ai été prisonnière de la matrice de cette société et de son cercle vicieux régi par la réussite, l’argent, le pouvoir, les apparences, le rythme effréné de la vie quotidienne…
Mon cheminement personnel est intimement lié à la compréhension de soi et de l’Autre (l’Autre n’est que Soi-même, habillé différemment…).
Diplômée en 1994 en masso-kinésithérapie, j’ai très vite pris conscience des limites de cette pratique qui traite les symptômes sans en comprendre les véritables origines.
A cet instant, ma quête s’est alors lancée dans la soif d’apprendre pour comprendre, d’expérimenter pour vérifier, de partager pour transmettre à chacun la compréhension du corps humain dans sa plus grande globalité.
Guider pour donner.
Tout a ensuite débuté en 1996 par une formation d’osthéo-éthiopathie lors de laquelle j’ai reçu un flux d’informations très intéressantes et importantes.
Notamment que chaque organe correspond à une émotion et à une vertèbre précise. Waouh ! Quelle révélation !
J’ai commencé à percevoir l’impact de l’émotion sur l’organe et son dysfonctionnement, ou sur la vertèbre associée et ses interactions mécaniques, voire les deux.
Un exemple : chacun sait aujourd’hui que le stress prolongé risque de créer un ulcère à l’estomac, d’être à l’origine de blocages vertébraux ou encore d’entraîner des douleurs articulaires et/ou abdominales…
Cet exemple n’est pas pris au hasard, il est parlant et compréhensible pour nous tous. Le stress est à l’origine de certaines douleurs, pathologies, malaises, mal-être… Et bien il en est de même pour toutes les autres émotions telles que la tristesse, la colère, la peur, la contrariété, la rancœur ou encore la déception…
Dans ma pratique, je considère que la douleur, la pathologie, sont des informations délivrées par notre corps et notre âme.
La découverte et l’exercice de l’étiopathie m’ont menée vers une toute autre appréhension des soins, partant de la relation entre l’émotion et le corps.
De plus, il existe tout un système énergétique circulant dans notre organisme, et qui est également relié à nos organes (cf les méridiens d’acupuncture).
Passionnant !
J’ai alors commencé à comprendre véritablement la nature humaine !
J’ai approfondi encore et encore mes recherches, par le biais d’un autre cursus basé sur les énergies vibratoires. Ce cursus est dédié à l’étude de l’Aura, des Chakras, de la chromathérapie, de l’émotionnel, du bio-décodage, de la symbolique du corps et des techniques de nettoyage et de réharmonisation de celui-ci, et des cellules qui le composent.
Toutes ces années de pratique, d’apprentissage et d’expérimentation m’ont permis de parcourir un chemin fabuleux, riche de rencontres et de sens…
Et je chemine encore, pour mon plus grand bonheur.
A mon sens, la vraie guérison est la guérison de l’âme. Ma mission est d’éveiller avant tout l’être humain sur sa problématique car plus il est éveillé, moins il est malade.
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Diplôme de thérapie manuelle et sportive
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Diplôme d’ostéo-éthiopathie
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Certificat d’osthéopathie articulaire
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Formation en auriculothérapie
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Formation en sympathicothérapie (ce n’était pas pour devenir plus sympathique, je le suis déjà !)
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Formation en podo-réflexologie plantaire
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Formation en médiation sinokinétique (les chaînes musculaires en synergie avec les méridiens d’acupuncture)
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Formation en Ho’oponopono
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Formation Access Bar (libération des implants et croyances mentaux)
Caroline Pignon,
Ethiopate
